Martha, qui porte surtout un autre prénom, m’a déséquilibré, si bien que j’ai failli écouter des films au lieu d’en faire avec Rosita, qui elle aussi porte autre chose, sans compter sa bravoure parfois crispée face à l’avenir, le nôtre, le leur, duquel le mien avec Magee fait partie, malgré son absence qui se prolonge et qui pourrait se prolonger encore longtemps et peut-être indéfiniment même si tous prononcent librement son prénom comme s’il leur appartenait même à Michèle, ne m’a jamais adressé la parole pour autre chose qu’une requête, livre, musique, escrime, quitte à passer sous silence la contribution de Judith, celle-là se plaint de son surpoids ça la maintient dans une position de retrait où les plus néfastes des issues sont à craindre, surtout quand Véronique exige des réponses rapides à des questions qui n’ont pas encore été posées avant de disparaître à jamais pour faire place à une inconnue insolente, elle a ouvert toutes grandes les portes de l’étable où attendait Colleen, cavalière contrainte d’abandonner sa jument à Didie, petite Didie n’a jamais accepté les alliances du royaume de ses aïeuls, ce qui a mené tout droit à la catastrophe, à la guerre, et de génération en génération.
On ne contrôle jamais rien alors vaut mieux observer l’histoire d’un œil vert
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