Ça suffit, dit-elle. Il faut juste appliquer les freins. Prendre plus de temps. Immobilisme. Reculer, si c’est encore possible. Consulter, pour passer le temps. Couler dans le béton, jusqu’en décembre, ce qui est maintenant présenté comme une simple proposition. Espérons, disent-ils, que le train abolira le programme d’immersion dans le gouvernement des lacs, car si on laisse les gens s’exprimer, si la volonté des conscients enseigne à la parenté maudite une sorte d’exposition publique, nous roulerons sur l’or. À nu!