Tout ce que ça prend pour avoir une belle histoire

Le drame, dans cette histoire, est total. Les pleureuses littéraires ont littéralement pleuré, il y avait des petits fours, des seaux de psychologie, et une fin dont on se souviendra jusqu’à l’apéro. Pourtant, c’était une histoire aussi vraie que la vérité, une de ces histoires où la victime, un moustique gelé, n’a pas même eu le temps de chanter son désespoir. Il meurt lamentablement sous les coups d’un horrible bourreau de sept ans. Dans l’histoire, il y avait aussi des champs de tournesol et des voitures anciennes. Ma voisine et moi, et quelques-uns de nos voisins aussi, sommes apparus à la fin du chapitre trois, au chapitre cinq, au milieu, et au tout début du chapitre neuf. Nous avons adoré faire partie de l’histoire, et nous sommes, tous, disposés à recommencer.

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