JOSH: Si je te donnais cinq millions de dollars en billets de banque?
JACK: Je dirais merci.
JOSH: Si tu avais le choix entre brûler ton voisin et brûler ces cinq millions de dollars?
JACK: Mon voisin est un salaud, et je suis pauvre.
JOSH: Alors, au bûcher le voisin?
JACK: Je n’ai pas les cinq millions, alors soyons généreux. Sauvons le voisin.
JOSH: Je te les donne! Imagine que je te les donne!
JACK: Impossible. Tu es plus pauvre que moi. Regarde tes fringues. Des lambeaux. Et ta peau grise. Tu as vu ta peau grise?
JOSH: Tu n’as aucune imagination.
JACK: Si si. J’en ai beaucoup. Je m’imagine comme le plus généreux des hommes, prêt à sauver un ennemi de la race humaine, un calomniateur, un dénonciateur, un agresseur. Un rat.
JOSH: Pourtant! Pourtant! Pour deux dollars, tu étais prêt à écraser le crâne de ce tartempion. Tu sais, celui qui vend des cigarettes sous le pont.
JACK: Il le méritait.
JOSH: Tu vois!
JACK: Je vois que j’ai beaucoup d’imagination.