Répétition illusoire. Le prisonnier regarde, du matin au soir, sous une lumière unique, une grande roue qui tourne. Mouvement continuel. Changements imperceptibles. L’œil qui refuse de voir, ne le peut plus.
GAL: Faudrait le libérer. Il va mourir tout fripé.
Le prisonnier restera là où il est. Les secours ne viendront pas de l’extérieur. Le nourrir de sarrasin, jusqu’à la fin.
GAL: Quand nous partirons, alors?
Il n’y aura plus personne pour parler de lui. Il n’existera plus.