JOE: J’aimerais doubler la misère de ma grange pour que les crieurs du village cessent les sacrifices d’avoine et ploient sous le patrimoine gelé.
ARTHUR: Ouais. J’y pensais aussi.
JOE: Pas possible.
ARTHUR: Si tu y as pensé, un autre aussi y a pensé. L’autre, c’est moi.
JOE: Toi, tu ne penses pas.
ARTHUR: J’y avais aussi pensé.
JOE: Tu mens.
ARTHUR: Le patrimoine gelé, c’est aussi dans l’étable?